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Nouvelle-Calédonie

 

 

 

 

 

Tahiti

 

 

 

 

 

Autres ex-colonies

      Nous avons pris le parti de ne pas indiquer d'indices concernant l'état des billets (B, TB, TTB, etc.)

Ceux-ci sont beaucoup trop subjectifs et, par ailleurs, très peu précis. En revanche, nous essayons d'afficher de bons scans (à 300 dpi), non retouchés, du recto et du verso de chacun des billets, de façon à ce que vous puissiez, en toute connaissance de cause, vous faire votre propre opinion en fonction de ce que vous voyez vous-même (caveat emptor). Le petit commentaire associé n'est là que pour préciser éventuellement ce que l'image ne peut montrer correctement (pli, fente, trous d'épingle, craquant du papier…)

Des scans supplémentaires sont possibles sur demande.

Nos billets sont toujours expédiés bien protégés dans une pochette en plastique neutre, placée entre deux feuilles de carton rigide, par courrier poste recommandé. Le règlement par Paypal offre par ailleurs, à l'acheteur, le remboursement en cas de perte, sur présentation de la facture.

 

 

Ouvrages de référence concernant les abréviations utilisées :

P : [Pick A. et all. ], 2008 : World Paper Money Catalog, Krause Publications, Iola, W.I., USA.

KM : Kolsky M. & Muszynski M., 1996 : Les billets de la Banque de l'Indochine, Éd. V. Gadoury, Monaco.

K : Kolsky M., 2006 : Les billets des DOM-TOM, (2e édition), Collection Histoire du Papier-monnaie français, Paris.

LK : Leclerc R. & Kolsky M., 2000 : Les billets africains de la zone franc, Collection Histoire du Papier-monnaie français, Paris.

 


Blog (billets)

Un short-snorter pour cinéphiles

   Un tel titre mérite quelques lignes d'explications… On regroupe sous le terme short-snorter plusieurs sortes de souvenirs créés par les militaires durant la Deuxième Guerre Mondiale – et plus particulièrement américains dans la Guerre du Pacifique – à partir des billets de banque en circulation dans les pays où ils étaient stationnés durant le conflit.

   Le concept du short-snorter n'est pas très clairement défini, mais à l'origine, il semble que, selon une coutume anglo-saxonne, quand deux amis étaient sur le point d'être séparés par les hasards de la vie, ils inscrivaient chacun leur nom sur un billet de banque. Celui-ci était alors déchiré en deux, chacun conservant la moitié portant la signature de l'autre, dans l'espoir d'avoir la chance de se retrouver un jour et de pouvoir réunir les deux parties – le billet reconstitué pouvant alors éventuellement servir à régler les bières qui ne manqueraient pas de fêter l'événement.
Durant la dernière guerre, une autre manière de procéder, un peu moins sentimentale, était la suivante : à son arrivée dans un bar fréquenté par des militaires, et en réponse à la question d'un des buveurs déjà présents :

« — Do you have your short-snorter ? », le nouvel arrivant devait pouvoir lui présenter un billet portant des signatures plus prestigieuses, ou plus nombreuses, que celles présentes sur celui de son challenger. Le perdant devait alors offrir une tournée. (To have a short snort, en argot américain, pourrait se traduire par : « s'en jeter un petit » ).

 

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